Pubblicità | ARCHIVIO | FRASI IMPORTANTI | PICCOLO VOCABOLARIO
 







MARKETPRESS
  Notiziario
  Archivio
  Archivio Storico
  Visite a Marketpress
  Frasi importanti
  Piccolo vocabolario
  Programmi sul web




 


MERCOLEDì

Pagina1  Pagina2  Pagina3  Pagina4  Pagina5  Web e Beauty Flash 
Notiziario Marketpress di Mercoledì 02 Marzo 2005
Pagina3
VIVIANE REDING MEMBRE DE LA COMMISSION EUROPÉENNE RESPONSABLE DE LA SOCIÉTÉ DE L’INFORMATION ET MÉDIAS MEDIA 2007 : L’INNOVATION AU SERVICE DE LA CIRCULATION DES ŒUVRES AUDIOVISUELLES EUROPÉENNES  
 
Lussembrugo 2 marzo 2005 – Di seguito il discorso tenuto da Viviane Reding membro della Commissione europea responsabile de la Società dell’Informazione e Media nel corso del convegno Media 2007 sul tema: “L’innovation au service de la circulation des œuvres audiovisuelles européennes”: “Monsieur le ministre, Mesdames et Messieurs les parlementaires, Mesdames, Messieurs, Je félicite la Présidence luxembourgeoise d’avoir pris l’initiative de ce séminaire, au moment où les discussions sur la proposition de programme Media 2007 sont en cours au sein du Parlement Européen et du Conseil. Dans un contexte budgétaire difficile, il me semble essentiel de mettre sans relâche en valeur l’importance des objectifs et des actions soutenues par Media, de dire que Media est important pour la diversité culturelle européenne comme pour la réussite de la stratégie de Lisbonne. Media crée de la valeur culturelle et de la valeur économique, dans son secteur de naissance, l’audiovisuel et la culture, mais aussi en synergie avec les technologies de l’information et de la communication. C’est d’ailleurs le message qu’a voulu donner le Président Barroso en créant ce portefeuille « société de l’information et médias ». Je trouve le choix de l’intitulé de ce séminaire, « Créativité et accès au marché », particulièrement pertinent car il rend parfaitement compte de la double dimension culturelle et économique du secteur audiovisuel européen et de l’approche privilégiée par le programme Media depuis le début, à savoir : - soutenir la création audiovisuelle européenne dans sa diversité; et - améliorer la compétitivité du secteur et la circulation des œuvres européennes. Au cours des ateliers qui réunissent aujourd’hui et demain dans le pays qui n’est cher des experts et praticiens venus de toute l’Europe, vous pourrez vous familiariser avec de multiples d’initiatives, privées et publiques, vous permettant, et permettant aux gouvernements et à la Commission, de faire avancer la réflexion sur l’évolution du secteur cinématographique en Europe. Notre politique proactive est un atout pour l’Europe : dans plusieurs parties du monde, on nous regarde et on souhaite coopérer avec l’Europe. C’est le cas en Asie – la Corée du Sud, la Chine – en Afrique – où l’Europe soutient des initiatives de circulation sud-sud comme Africa Cinemas – et en Amérique du Sud – le Mercosur vient de se doter d’une dimension « cinéma ». Le programme Media sera, par son succès et par son importance, au cœur de vos discussions, parce qu’il est devenu, au fil des différentes générations d’actions qui se sont succédé avant d’aboutir à Media Plus et à Media Formation en 2001, l’emblème d’une volonté de l’Europe de promouvoir activement ses œuvres audiovisuelles, et parce que son historique, le bilan des programmes Media (nous entrerons avec Media 2007 dans la quatrième génération), est un outil intéressant pour mesurer les faiblesses du secteur audiovisuel en Europe et détecter les moyens d’y remédier. Media a aussi été un lieu d’innovation en matière de soutien public – avec le slate funding pour le développement – et de souplesse - avec la coopération avec « i2i Audiovisuel » de la Bei puis avec l’intégration de mécanismes inspirés de « i2i » dans la proposition pour Media 2007. Ce qui réunit aujourd’hui les acteurs présents – professionnels, représentants du Parlement européen, des Etats membres et Commission Européenne - est un même souci : produire des œuvres de meilleure qualité et gagner des parts de marché. Ce qui nous réunit également est la conviction que cet objectif ne peut être atteint que par une stratégie intégrée : soutenir la formation et le développement en amont de la phase de la production et soutenir la distribution et la promotion en aval pour ce qui concerne l’Union européenne ; soutenir surtout la production pour ce qui concerne les Etats membres. Ce séminaire va vous permettre d’échanger vos expériences, de comprendre de quelle manière les actions européennes et nationales, publiques et privées se complètent et agissent en synergie pour améliorer la situation encore et encore. Je regrette de constater que les marchés audiovisuels restent trop cloisonnés, même si augmente le nombre des coproductions. Je déplore la situation du cinéma et la créativité audiovisuelle dans les nouveaux Etats membres de l’Europe – le rattrapage sera une priorité pour Media 2007, avec des mesures de « discrimination positive » ! Mesdames et messieurs, Le secteur audiovisuel européen, et particulièrement les œuvres européennes non nationales, n’occupent pas la place qu’ils devraient avoir sur le marché européen et mondial. Prenons comme exemple les sorties cinématographiques dans les pays de l’Union l’année dernière : en moyenne 167 films américains ont été à l’affiche dans les salles contre 87 films produits dans l’Etat membre de sortie et 31 films européens non nationaux. Derrière ces moyennes, les écarts sont en outre très grands selon les territoires, et certains pays bénéficient encore à peine d’une cinématographie nationale et connaissent très peu les œuvres produites par leurs voisins. La part de marché des films américains varie ainsi de 60 à 82% selon les Etats membres. Les causes de cette faiblesse sont complexes, et je ne vais pas rentrer dans les détails. Je soulignerai simplement que l’industrie audiovisuelle européenne souffre d’un déficit important d’investissement en amont de la production audiovisuelle. Trop de professionnels ne disposent pas d’une formation leur permettant de faire face aux enjeux des marchés européen et international, de préparer leurs sociétés et leurs œuvres pour qu’elles puissent trouver un marché en dehors de leur pays d’origine. Trop d’œuvres audiovisuelles sont produites sans qu’un investissement suffisant ait été consacré à leur développement. Faute d’une qualité suffisante, faute de stratégies adéquates, elles demeurent cantonnées à leur marché national. En aval de la production, les problèmes concernent principalement la difficulté des œuvres européennes à être distribuées et promues hors de leur pays d’origine. J’espère et je crois que le cinéma en ligne apportera de nouvelles chances de circulation des œuvres et un nouvel espace de liberté pour la créativité. Qu’a choisi de faire l’Europe dans ce contexte ? Concentrer depuis le début des années 90 des moyens relativement réduits par rapport aux sommes en jeu dans le secteur audiovisuel sur des priorités bien définies et pertinentes : la formation des professionnels, le développement, la distribution et la promotion. Là où la valeur ajoutée européenne peut être la plus élevée. L’effet de levier de cette approche a été considérable, comme nous l’ont prouvé les évaluations des programmes Media Ii et Media Plus. Je prendrai comme exemple le secteur de la formation. Ce sont 80 activités de formation qui sont aujourd’hui financées par Media. Et ces 80 activités forment chaque année près de 1700 professionnels du secteur audiovisuel. Nous disposons également d’exemples bien connus de succès du cinéma européen, soutenus par Media tout au long du cycle de production – depuis le développement et même la formation jusqu’à la distribution et la promotion - et qui illustrent de façon parfaite le cycle vertueux de la créativité et de l’accès au marché : « Goodbye Lenin » en fiction ou « Les triplettes de Belleville » en animation. J’évoquerai enfin le rôle capital de Media pour la création et l’accès au marché des œuvres provenant de pays à faible capacité de production – et je choisirai en l’honneur de notre hôte d’aujourd’hui l’exemple de la société luxembourgeoise Oniria Films. Cette société a bénéficié en 2002 d’un soutien au développement pour son animation « Renart le renard », adaptée du grand classique « le Roman de Renart », d’un soutien en distribution et a été plébiscité en ce début d’année dans plusieurs festivals européens d’animation et notamment Anima à Bruxelles. Les chiffres, les succès de Media ainsi que le nombre de candidatures en constante augmentation nous le prouvent donc : le programme Media doit continuer à se concentrer, pour la période 2007-2013, sur ces 4 priorités : le soutien en amont de la production à la formation et au développement, le soutien en aval à la distribution et à la promotion. Ceci n’empêche pas d’envisager des évolutions, concordantes avec celles du secteur audiovisuel : en premier lieu, des moyens financiers renforcés. La proposition de programme Media 2007 prévoit ainsi un budget de plus de 1 milliard d’euros. Avec les positions très restrictives prises par plusieurs grands Etats membres, je suis consciente que cet objectif sera difficile à atteindre et j’ai besoin de votre soutien à toutes et tous ! en second lieu, la prise en compte des mutations technologiques et économiques du secteur. Il s‘agit de saisir les occasions formidables que nous offre le numérique à tous les stades de la production et de la diffusion des oeuvres. Le numérique constitue un élément clé pour la compétitivité du secteur audiovisuel européen et une formidable chance de développement. En troisième lieu, il s‘agit de faciliter l’accès aux financements privés des petites et moyennes sociétés européennes du secteur de la production et de la distribution. Enfin, « last but not least », la garantie de la diversité européenne et de l’accès aux marchés des œuvres provenant des pays à faible capacité de production. Cet objectif est plus que jamais à l’ordre du jour en raison de l’élargissement de l’Union Européenne. Et nous prévoyons par exemple d’augmenter à 75% au lieu de 60% la contribution communautaire pour les actions de formation en direction des nouveaux pays membres. D’autres nouvelles orientations sont actuellement en chantier. Par exemple, je compte prochainement lancer une série d’actions de promotion dans le domaine de l’éducation aux médias (« media literacy ») et développer les synergies entre audiovisuel et télécoms dans le cadre global de l’initiative i2010, appelée à prendre le relais du plan d’action e-Europe. Monsieur le Ministre, chers professionnels du 7è art, J’espère que ces quelques éléments de contexte seront utiles pour les débats qui vont avoir lieu maintenant. Media est un outil formidable et précieux et je suis convaincue que notre vision commune d’un soutien actif à la créativité et à la circulation des œuvres audiovisuelles est le bon choix. Ensemble, construisons Media 2007 et gagnons pour l’audiovisuel européen la bataille de l’avenir !”  
   
   
SANREMO: OGGI GASPARRI AL FESTIVAL FIRMA 'PATTO' SU CONTENUTI DIGITALI  
 
Roma, 2 marzo 2005 - Oggi alle 14, il Ministro delle Comunicazioni, Maurizio Gasparri, al Teatro Ariston di Sanremo, sottoscriverà ''Il Patto di Sanremo'' con il Ministro per i Beni e le Attività, Giuliano Urbani e il Ministro per l'Innovazione e le Tecnologie, Lucio Stanca. L'intesa sarà firmata da oltre cinquanta rappresentanti delle aziende e degli enti che aderiscono al codice di condotta per la diffusione dei contenuti digitali. Alle 15, nella sala stampa del Festival, i tre ministri terranno una conferenza stampa per illustrare i contenuti e gli obiettivi di questa iniziativa, che, per la vastità dei settori coinvolti, non ha precedenti in Europa.  
   
   
GRUPPO MONDO TV: IL C.D.A. HA APPROVATO IL BILANCIO D’ESERCIZIO ED IL BILANCIO CONSOLIDATO 2004. +25% VALORE DELLA PRODUZIONE CONSOLIDATO A 57,7 MILIONI DI EURO +12% UTILE NETTO CONSOLIDATO A 7,4 MILIONI DI EURO  
 
Roma, 2 marzo 2005 - E’ risultata molto significativa, anche nel 2004, la crescita di tutti i risultati economici di Mondo Tv - primario Gruppo attivo in Europa nella creazione, realizzazione e distribuzione di “cartoons” per televisione e cinema - che ha realizzato ricavi consolidati in crescita del 25% a 57,7 milioni di Euro rispetto ai 46 milioni di Euro del precedente esercizio. Positivo anche il Margine Operativo Lordo (Ebitda) consolidato che è incrementato del 12% attestandosi a 41,7 milioni di euro contro i 37,1 milioni del precedente esercizio. In termini relativi l’Ebitda si attesta al 71% del Valore della Produzione, tra i più alti a livello di settore. In crescita fino a 13,5 milioni di Euro (*) anche il Risultato Operativo (Ebit) consolidato (+14% rispetto agli 11,9 dello scorso esercizio). Il dato sull’Ebit è da intendersi ante rettifiche straordinarie (vedi nota a fine documento). Tale dato è ancor più significativo se considerato che è stato ottenuto nonostante l’incremento di circa il 12% degli ammortamenti e accantonamenti (passati dal 25,2 milioni nel 2003 a 28,2 milioni di Euro nel 2004) in virtù della politica di investimenti che il Gruppo continua a sostenere ormai da diversi anni. Per effetto di tutte le componenti sopra descritte, l’utile consolidato ante-imposte ha raggiunto i 13,4 milioni di Euro ante rettifiche straordinarie (*) con una crescita di circa l’11% sul dato dell’esercizio precedente (circa 12 milioni di Euro). Molto positivo, infine, anche l’utile netto che, sempre a livello di Gruppo, si è attestato a 7,4 milioni di Euro ante rettifiche straordinarie (*) in crescita del 12% rispetto ai 6,6 milioni di Euro del precedente esercizio. Questi i principali contenuti del bilancio consolidato 2004 approvato, insieme al progetto di bilancio, questo pomeriggio dal C.d.a. Di Mondo Tv. Il progetto di bilancio 2004 verrà sottoposto all’approvazione dell’Assemblea degli azionisti convocata in seduta ordinaria per i prossimi 29 aprile e 13 maggio 2005, rispettivamente in prima e seconda convocazione. Anche in virtù della significativa politica dei dividendi in favore degli azionisti, il C.d.a ha deciso di non effettuare alcuna distribuzione di utili (e di coprire il risultato d’esercizio con le riserve sovrapprezzo azioni): si ricorda infatti che il 24/2/05 l’Assemblea ha deliberato l’assegnazione gratuita di 1 azione Mondo He per ciascuna azione Mondo Tv posseduta ed una ulteriore quota di riserva in contanti (per un importo di 0,14 Euro per azione). Con riguardo alle fonti di reddito, il Gruppo ha proseguito la diversificazione nei settori correlati (home video, merchandising, musica, editoria e cinema) che, in valore assoluto, sono incrementati passando dai 35,5 milioni di Euro del 2003 ai 44,1 milioni di Euro del 2004 mantenendosi a circa il 76% dei ricavi totali di Gruppo. La progressiva diversificazione delle vendite direttamente verso il consumatore finale consente al Gruppo un’efficace salvaguardia dalle cicliche crisi economiche e al tempo stesso di non soffrire il calo della pubblicità televisiva come accaduto a tutti i principali competitor internazionali. Sul fronte industriale, gli investimenti totali sostenuti nel corso del 2004 sono stati pari a 28,2 milioni di Euro: il Gruppo ha attualmente in fase di co-produzione 6 serie animate da 26 episodi ciascuno con la Rai ed altri clienti primari, 5 lungometraggi di animazione per il cinema e una serie animata in fase di produzione in proprio, nonché diversi film di animazione in fase di completamento. Per quanto riguarda la gestione finanziaria, gli oneri finanziari netti sono stati pari a 0,2 milioni di Euro, in leggero miglioramento rispetto al precedente esercizio; la gestione straordinaria presenta proventi netti per 49.000 Euro (354.000 Euro nel 2003). Dal punto di vista patrimoniale, il capitale investito si è attestato intorno ai 106 milioni di Euro (rispetto ai 121 milioni del precedente esercizio) in linea con la politica di investimenti e di ammortamenti condotta dal Gruppo. Attualmente la “library” di proprietà del Gruppo si compone di circa 5.500 episodi di serie Tv e di 20 film di animazione e rappresenta una tra le più ampie a livello europeo. Significativamente in crescita la Posizione Finanziaria Netta - sempre a livello di Gruppo - che al 31 dicembre 2004 è positiva ad una quota di poco meno di 4 milioni di Euro rispetto ai 145.000 Euro al termine del 2003; tale risultato è stato ottenuto grazie al positivo esito dell’aumento di capitale condotto in più tranche nel corso degli ultimi 2 anni. Tra le società controllate, è opportuno segnalare i risultati molto positivi di Mondo Home Entertainment S.p.a. Che ha chiuso l’ultimo esercizio fiscale (che va dal 1° ottobre 2003 al 30 settembre 2004) con ricavi per 8,4 milioni di Euro (3,4 milioni di Euro nel precedente esercizio), un Ebitda per circa 0,9 milioni di Euro (0,1 milioni di Euro nel precedente esercizio) ed un utile netto per circa 0,7 milioni di Euro (circa 22.000 Euro nel precedente esercizio). Nel solo primo trimestre del nuovo esercizio (ottobre-dicembre 2005) la società ha realizzato un Valore della Produzione pari a 6,5 milioni di Euro (+287% rispetto allo stesso trimestre del precedente esercizio fiscale), un Ebitda a oltre 1 milione di Euro (+267%) ed un risultato netto a 0,51 milioni di Euro (+136%). Si ricorda che Mondo Home Entertainment ha concluso con successo il collocamento azionario al mercato Expandi di Borsa Italiana; le negoziazioni sono iniziate ieri 28 febbraio con un riscontro molto positivo da parte del mercato (nei primi due giorni il titolo è cresciuto di circa l’80%). Positivi anche i dati della capogruppo Mondo Tv S.p.a. Che ha realizzato, sempre nell’esercizio 2004, ricavi per 44 milioni di Euro di Euro in crescita dell’8,3% rispetto al 2003. L’ebitda è risultato pari a 40,1 milioni di Euro in crescita del 4% rispetto al precedente esercizio. L’utile netto ante rettifiche straordinarie (*) è stato pari a 4,1 milioni di Euro, difficilmente confrontabile con gli 8,1 milioni del precedente esercizio perché il dato del 2004 è influenzato da una quota di svalutazioni in partecipazioni (4,7 milioni Euro) circa il doppio rispetto al 2003 (2,4 milioni di Euro). Nel breve lasso di tempo intercorso dalla chiusura dell’esercizio non sono avvenuti fatti aventi effetti sul bilancio in approvazione. Il 28 febbraio si è positivamente conclusa la quotazione di Mondo H.e. Sul Mercato Expandi. Con la società californiana Digifarm è stato siglato a gennaio un accordo di coproduzione di due lungometraggi animati con un budget di 10 milioni di Euro ciascuno. Inoltre è stato siglato un duplice accordo con la società greca Arcadia Group. L’evoluzione prevedibile della gestione è quella di un affiancare all’incremento della library la creazione di strutture, snelle ma efficienti, idonee allo sfruttamento sempre più intenso e capillare, della library stessa. Le linee di sviluppo si fondano sull’aumento delle coproduzioni di serie e lungometraggi animati in tutte le aree del mondo e prevalentemente con partners europei.  
   
   
BILANCIO 2004 TELECINCO TELECINCO, LEADER NEGLI ASCOLTI CON UNA SHARE DEL 22,1% UTILE NETTO : 215,9 MILIONI DI EURO IL CONSIGLIO DI AMMINISTRAZIONE PROPONE UN DIVIDENDO PARI ALL’80% DELL’UTILE NETTO  
 
Madrid, 2 marzo 2005 - Telecinco ha chiuso l’esercizio 2004 con ottimi risultati grazie alla crescita degli ascolti, al contenimento dei costi, all’incremento dei ricavi pubblicitari e al positivo andamento del mercato pubblicitario I ricavi netti combinati sono stati pari a 789,9 milioni di euro. I ricavi pubblicitari lordi raggiungono i 777,9 milioni di euro con una crescita del 20,7% rispetto all’esercizio 2003 Un risultato superiore all’andamento del mercato di riferimento che nel 2004 è cresciuto del 15%. L’ utile prima delle imposte è passato dai 171,0 milioni di euro del 2003 ai 301,9 milioni nel 2004. L’utile netto è stato pari a 215,9 milioni di euro (+76,1% ) rispetto ai 122,6 milioni di euro dell’esercizio 2003. Il free cash flow operativo è cresciuto del 75,1% e raggiunge i 242,2 milioni di euro rispetto ai 103,8 milioni di euro dell’esercizio precedente. Il Consiglio di Amministrazione ha deliberato di proporre alla prossima Assemblea degli Azionisti la distribuzione di un dividendo pari all’80% dell’utile netto 2004 corrispondente a 0,70 euro per ciascuna azione. Record storico di Publiespana Publiespana ha raggiunto un fatturato pubblicitario lordo record pari a 765,6 milioni di euro, con un incremento del 20,8% rispetto al 2003, superando sia la crescita del mercato globale (+10,4% - Fonte Infoadex) sia quella del mercato televisivo (+15%). L’utile dopo le imposte è stato pari a 50,5 milioni di euro, in crescita del 48,7% rispetto al 2003. Publimedia Gestión, la controllata di Publiespana dedicata alla raccolta pubblicitaria sui mezzi new media, ha ottenuto un incremento dei ricavi pari al 30,4% rispetto all’esercizio precedente, raggiungendo i 21,4 milioni di euro. Telecinco, la prima rete privata leader negli ascolti dell’intero anno Telecinco ha chiuso il 2004 con una share del 22,1% confermandosi prima rete televisiva privata leader negli ascolti dell’intero anno. Questo risultato rappresenta un vero record nei 15 anni di storia delle reti private spagnole. Audience: ascolti medi intera giornata 2004
Telecinco Antena 3 Tv Tve1
22,1% (2004) 20,8% (2004) 21,4% (2004)
21,4% (2003) 19,5% (2003) 23,4% (2003)
Telecinco è anche leader nel prime time con il 23,1%, il suo miglior risultato dall’anno 1993, superando di 1,7 punti Tve 1(21,4%) e di 2 punti Antena 3 Tv (21,1%). Audience: ascolti prime time 2004
Telecinco Antena 3 Tv Tve1
23,1% (2004) 21,1% (2004) 21,4% (2004)
22,3% (2003) 18,6% (2003) 23,9% (2003)
Per il sesto anno consecutivo, Telecinco afferma il suo primato nel target commerciale con uno share pari al 25,2%, registrando il suo record storico. Audience: target commerciale 2004
Telecinco Antena 3 Tv Tve1
25,2% (2004) 21,9% (2004) 17,8% (2004)
24,5% (2003) 20,8% (2003) 19,2% (2003)
Inoltre, nel 2004 Telecinco è stata la rete televisiva più vista nella fascia del day time (21,7%), e in seconda serata (29%)”. La migliore quotazione in Borsa degli ultimi quattro anni All’inizio del 2004 il Consiglio di Amministrazione di,Telecinco ha deliberato di collocare in Borsa il 34,59% del capitale della società. Il prezzo di ciascuna azione è stato fissato in 10,15 euro. Dal primo giorno di quotazione ( 24 di giugno), il titolo ha registrato un incremento del 50% (15,18 euro al 30 di dicembre, ultimo giorno feriale nella Borsa di Madrid). Telecinco ha chiuso il 2004 con una capitalizzazione di borsa pari a 3.744 milioni di euro. In alcuni casi, i dati di questo comunicato risultano diversi da quelli elaborati da Mediaset a causa dei diversi criteri contabili utilizzati in Italia e Spagna. Poiché l’integrazione del Gruppo Publiespana a livelo contabile si è prodotta dal 1 aprile 2004, i risultati sono presentati in Formato Combinato e, pertanto, includono anche i risultati del primo trimestre del Gruppo Publiespana
 
   
   
L’AMBASCIATORE DI FRANCIA IN ITALIA, LOÏC HENNEKINNE, CONFERISCE LE INSEGNE DI COMMANDEUR DANS L’ORDRE DES ARTS ET LETTRES A FRANCO MARIA RICCI  
 
Roma, 2 marzo 2005 - Franco Maria Ricci sarà insignito del titolo di Commandeur dans l’Ordre des Arts et Lettres, giovedì 3 marzo, a Palazzo Farnese. Un’occasione speciale (il più alto riconoscimento che la Repubblica Francese riserva a chi si è distinto nel campo culturale con risultati d’eccellenza) per onorare la carriera, davvero speciale, di un amico appassionato della cultura francese nato in quella Parma che fu per più di un secolo una “petite capitale” francofona. Le scelte e il percorso di Franco Maria Ricci, editore che per quarant’anni ha influenzato l’editoria d’arte del mondo, sono sempre stati caratterizzati da uno stile elegante, semplice e pieno di curiosità. La sua formazione, per sua ammissione, deve molto alla cultura francese, una cultura che ha costantemente promosso nel corso degli anni. La sua rivista d’arte Fmr (162 numeri), oltre a una grandissima qualità tipografica e fotografica, ha avuto contributi di studiosi e scrittori fra i più sensibili del nostro tempo. Con i suoi libri e con tanti articoli di Fmr, Ricci ha permesso la scoperta di testi, all’epoca inediti in Italia, di scrittori francesi come Nerval, Gobineau, Nodier, Denon, Schwob, Cazotte, Bloy, Stendhal, Villier de L’isle-adam, e poi Roland Barthes, Jean Giono, André Chastel, Rogier Caillois, Jean Jouve, Paul Morand. Molte sono le edizioni in cui Franco Maria Ricci ha esaltato il legame tra Francia e Italia: Parma e la Francia di Paul Bédarida, Palazzo Farnese di Michel Hochmann, Villa Medici di Philippe Morel o Napoleone in Italia di Xavier Salmon sono fra gli oltre 600 volumi d’arte, di storia e di letteratura entrati ormai nel gioco discreto e rarefatto della bibliofilia. Ma la sua impresa più difficile e irripetibile è stata la ristampa del monumento dell’Illuminismo, l’Encyclopédie de Diderot et d’Alembert. Le sue librerie di rue des Beaux-arts, boulevard Saint-germain e della galerie Véro-dodat sono stati inoltre luoghi molto amati dai bibliofili parigini. Ma Franco Maria Ricci è anche un collezionista di libri e di opere d’arte. È sua la più imponente raccolta di opere bodoniane ricca di circa 1200 volumi, molti dei quali in lingua francese. Anche nella sua vasta raccolta d’arte la Francia è molto presente, soprattutto con la collezione, unica in Italia, di ritratti del diciottesimo secolo e del Primo Impero firmati Caffieri, Houdon, Le Moine, Collot, Martin, Boudard, Chaudet, Chinard, Nini, Bosio, artisti che raramente compaiono nei musei italiani.  
   
   
SEMINARIO SUL RAPPORTO TRA CULTURA, COMUNICAZIONE ED ECONOMIA IL “BELPAESE” TANTA STORIA, POCHI SOLDI: COME E PERCHÉ FINANZIARE LA CULTURA? MA IL NOSTRO È ANCORA UN “BELPAESE”?  
 
Sabbioneta, 2 marzo 2005 - Un Paese che finanzia poco e male la cultura, che non la considera come un fattore di sviluppo di tutti e per tutti, che razza di Paese è? Perché stupirsi allora delle polemiche intorno all’eliminazione della lingua italiana nell’ambito dell’Unione Europea? Si svolgerà nella giornata di sabato 5 marzo 2005 a Sabbioneta (Mn) il seminario nazionale sul rapporto tra cultura, comunicazione ed economia: Il “Belpaese” tanta storia, pochi soldi: come e perché finanziare la cultura? ideato e coordinato da Massimiliano Finazzer Flory ed organizzato dall’Assessorato Cultura e Turismo del Comune di Sabbioneta, insieme al Sindaco Antonio Beccari. Intorno a questo interrogativo ruota da anni una serie di attività di promozione della Cultura e tutela dei Beni Culturali che coinvolgono diversi settori del pubblico e del privato. Ma le risposte alle quali si è giunti non sembrano soddisfacenti né di lunga durata. Ecco allora che esperti di diversa formazione, ed impegnati su fronti diversi, riportano la loro esperienza e valutano insieme la situazione attuale, nella prospettiva che un “confronto tecnico” possa aprire nuovi panorami possibili di intervento. Questo Seminario si inserisce nell’ottica del Comune di Sabbioneta per lanciare una stagione di grandi eventi culturali che da aprile a settembre, offrirà oltre le tradizionali fiere, nuove forme di spettacoli culturali tra cui un festival sul Mito e la riproposta della creativa “Notte Bianca”. Il seminario si svolgerà dalle 9.30 alle 17 presso la Sala Consiliare del Comune di Sabbioneta. Ingresso ad invito. Per partecipare telefonare al n° 0375.223010. Programma dei lavori: ore 9.30 - 12.30 relazioni ; ore 13.00 rinfresco presso la Galleria degli Antichi ; ore 14.00 visita guidata ai principali monumenti della città ; ore 15.30 - 17.00 discussione. Indirizzo di saluto del Sindaco di Sabbioneta Antonio Beccari. Intervengono: Maria Grazia Bernardini Soprintendente per il Patrimonio S.a.e. Di Modena e Reggio Emilia ; Michela Bondardo Vicepresidente Sistema Impresa e Cultura ; Giuseppe Costa Dirigente Attività Culturali Regione Lombardia ; Fabrizio De Pasquale Portavoce Ministro per i Beni e le Attività Culturali ; Barbara Falcomer Amministratore Delegato Montblanc Italia ; Roberto Lavarini Sociologo Università Iulm ; Armando Peres Assessore alla Cultura Comune di Venezia ; Paolo Polettini Festival della Letteratura di Mantova ; Pietro Scardillo Consulente progetti speciali Accademia Teatro alla Scala ; Marco Vitale Economista d’Impresa ; Giorgio Vitali Critico Musicale Famiglia Cristiana ; Coordina: Massimiliano Finazzer Flory . Per informazioni: Comune di Sabbioneta Assessorato Cultura - Turismo Tel. 0375.223010 - Fax 0375.220000 anna.Ghizzardi@internetpiu.com  
   
   
STRATEGIE DI COMUNICAZIONE E MARKETING 8 – 15 MARZO WORKSHOP ASSEPRIM  
 
Milano, 2 marzo 2005 - Presso Unione Commercio, Turismo, Servizi E Professioni Di Milano si terrà un incontro. “Strategie di comunicazione e marketing per l'innovazione e la competizione delle Pmi” è il tema delle due giornate di workshop promosso da Asseprim, l’Associazione Servizi Professionali per le Imprese. L’obiettivo sarà quello di sottolineare come il comunicare una identità aziendale sia una vera opportunità anche per le aziende medie e piccole: dovranno sfruttare i nuovi strumenti di comunicazione che le tecnologie e le nuove discipline di comunicazione - webmarketing - offrono. La prima giornata fornirà gli strumenti operativi necessari alla verifica dell'efficacia e dei risultati della comunicazione, della comprensione e della gestione del feedback dei clienti, basandosi sulla conoscenza strategica del mercato in relazione al territorio e alle reti sociali. La seconda giornata di workshop, invece, verterà su aspetti più tecnologici, fornirà gli strumenti per gestire e sviluppare un progetto web: design, web accessibile, arte della visibilità e della popolarità, come creare servizi on line e dispositivi mobili e come diffondere le informazioni. Il workshop Asseprim è in programma a Milano 8-15 marzo (dalle ore 9.00 – 17.30), Presso Unione Ctsp di Milano, C.so Venezia 47/49 – Milano (Mm1 – Palestro), All’incontro – aprirà i lavori, il Presidente di Asseprim, Umberto Bellini - parteciperanno: Stefano Lazzari - Responsabile Ict e consulente Marketing e Comunicazione Digitale per la Mgm Digital Communication. Mario Neve - Ricercatore, geografo presso il Dipartimento di Storie e Metodi per la Conservazione dei Beni culturali dell’Università di Bologna, consulente esterno Nomisma per il settore strategia urbana Per informazioni ed iscrizioni rivolgersi alla Segreteria Asseprim: Tel. 02 7750452 / 76020405; e-mail: asseprim@unione.Milano.it  
   
   
ALTRI QUATTRO NUOVI SOCI ENTRANO IN ASSIRM IL NUMERO DEGLI ASSOCIATI SALE A 37  
 
Milano, 2 marzo 2005 - L’assirm (Associazione fra istituti di ricerche di mercato, sondaggi di opinione e ricerca sociale) continua ad espandere la sua base associativa: altre quattro new entries hanno aderito all’Associazione nei primi due mesi dell’anno: Carlo Erminero & C.; Istituto Piepoli ; M&t Marketing & Trade; Probe. “Siamo particolarmente felici dell’ingresso di questi quattro istituti – ha dichiarato Luigi Ferrari, Presidente di Assirm – non solo per l’espansione che rappresentano in termini numerici, ma soprattutto perché dimostra la vitalità dell’associazione e la sua capacità di stimolare la partecipazione di nuovi, diversificati, importanti attori della ricerca italiana: Assirm incrementa così la sua capacità di porsi come qualificato interlocutore istituzionale nei confronti della Pubblica Amministrazione e delle associazioni professionali ed industriali in questo importante momento della vita economica del Paese. Assirm inoltre viene così a disporre di maggiori risorse e incisività per il consolidamento dei programmi di qualificazione e sviluppo della professione, portate avanti di concerto con le altre associazioni europee ed internazionali della categoria.  
   
   
ROBERT JHONSON, CONSULENTE DI BILL CLINTON E BILL GATES, INTERVIENE SULLA PAGINA DI OGGI COMUNICATENEO DI ITALIA OGGI PARLANDO DI COMUNICAZIONE D’IMPRESA E POLITICA LE AZIENDE ITALIANE HANNO PAURA DI OSARE  
 
Roma, 2 marzo 2005 - Robert Jhonson è considerato uno dei maggiori esperti a livello mondiale in economia, psicologia del cambiamento e strategia di business. È stato consulente dell’ex-presidente degli Stati uniti Bill Clinton e del magnate della Microsoft Bill Gates. Jhonson è molto apprezzato in materia di consulenza aziendale e, parlando delle aziende italiane, ha rilevato come l’Italia sia un Paese dove il business si sviluppa per distretti. È una caratteristica che in passato ha garantito il successo ma che oggi non è più sufficiente. Per competere nello scenario mondiale occorrono nuovi strumenti. Non è più sufficiente la sola qualità, occorre anche saperla comunicare; non basta la produzione, occorre anche saperla collocare. Il processo per raggiungere gli obiettivi passa attraverso un lungo percorso formativo che deve prevedere un cambiamento culturale prima che innovativo. Va insomma modificato il modo di considerare l’azienda e il mercato. Ecco l’estratto dell’intervista che esce oggi (2 marzo) sulla pagina Comunicateneo di Italia Oggi a cura di Igor Righetti Domanda. Lei è stato consulente dell’ex presidente degli Stati Uniti Bill Clinton come anche di Michael Jordan, Bill Gates e altri statisti, imprenditori e atleti di tutto il mondo. Su quali fattori basa le sue strategie d’immagine? Risposta. La strategia d’immagine, come dice anche il termine, non è nient’altro che comunicazione e trasmissione di significato. Deve esserci significato. Se non c’è, è come avere una radiolina vecchia e mettervi l’amplificatore. In questo modo si sentirà la musica ancora peggio. Se, invece, ho una buona radio e aggiungo l’amplificatore il suono sarà migliore. Ed è la stessa cosa che posso fare per una persona. La costruzione di un soggetto nasce prima dalla visione che ha lui di se stesso e del mondo. Una volta individuati anche gli obiettivi diventa più facile costruire le tappe. Io lavoro sull’essere del soggetto. D. Quali sono le domande che un’azienda deve porsi nei confronti del mercato? R. Se è utile. La cosa più importante è capire se il proprio prodotto è utile. Fino a oggi le aziende buttavano prodotti sul mercato. Oggi sarebbe il caso di fare il contrario e cioè chiedere ai consumatore quali sono le cose che lo aggradano, che gli fanno piacere, quali sono le modalità con le quali vuole essere approcciato da queste aziende. Non a caso le aziende in crisi credono che quelli che vanno bene sono extraterrestri. Se andiamo in profondità vediamo che loro producono un prodotto come il nostro. Però nel tempo sono riuscite a trasmettere un credo del loro prodotto che risponde alle esigenze dei consumatori. D. Trova che la comunicazione d’impresa in Italia sia adeguata alle necessità del mercato e delle tecnologie attuali? R. Non è una questione dell’Italia ma dell’impresa. Ci sono imprese che riescono a trasmettere significato e quindi hanno una comunicazione efficace ed efficiente. Per vendere ci vogliono dei requisiti che fino a ieri non erano richiesti. Prima ognuno si svegliava al mattino e decideva di fare l’imprenditore imponendo le sue regole agli altri. Oggi non è più così perché essendoci la concorrenza ognuno vende per quello che vale. Un’azienda che riesce a essere coerente dentro casa sua sono convinto che è pronta ad accogliere gli ospiti. D. Quali sono le nuove prospettive di mercato a cui sono di fronte le nuove aziende italiane? R. Le aziende finora hanno basato il loro successo su quattro fattori: soldi, tecnologia, risorse umane, risorse fisiche. Oggi hanno bisogno della quinta risorsa che sono le informazioni. Queste persone per avere successo hanno bisogno di gente con un’apertura mentale, interessi extraprofessionali. Amare la musica, il sociale, la religione, lo sport. Essere autosufficenti, cioè in grado anche di cucinarsi un piatto da soli. Non essere etnocentrici ovvero recarsi all’estero e dire che la propria nazione è superiore. Il salto da coloniale a globale è il salto che le aziende devono fare. D. Che cosa intende per nuovo approccio al concetto di leadership? R. Che i leader devono avere la capacità di capire che oggi non abbiamo più bisogno di direttori di uomini, abbiamo bisogno di soggetti che abbiano grandi capacità comunicative e di essere in grado di creare visione. Il nuovo leader deve essere colui che riesce a far vedere le cose invisibili. È quello di cui abbiamo bisogno. D. Come trova i comunicatori italiani? Si dice che abbiano perso creatività… R. L’errore che si fa a mio avviso è quello di credere che il comunicatore sia esclusivamente creativo. Sappiamo benissimo che uno spot non nasce soltanto dalla creatività. Ci vuole di sicuro un briefing iniziale da parte dell’azienda che dice quello che si deve comunicare. Buona parte delle aziende cosa fa? Demanda questo compito a un creativo. Bussa alla porta dell’agenzia dicendo: “Senta mi fa questo spot?”. Il creativo di certo lo farà, ma come crede lui. Non come risponde alle esigenze dell’azienda. Quindi non si tratta di crisi di creativi, ma crisi di aziende che non riescono a trasmettere il loro significato. Perché il creativo può essere creativo quanto vuole ma può trasmettere esattamente l’opposto. D. Aziende che hanno paura di osare. Ce ne sono molte in Italia… R. Molte. Loro per prime non credono. È questo l’errore che si fa. Si crede erroneamente che basta pubblicizzare un prodotto per venderlo. Non è così: tu puoi vendere qualche articolo ma per creare la storia dovresti trasmettere un significato con dei valori, una promessa base che viene poi mantenuta. D. Che cosa pensa della comunicazione politica italiana. La trova efficace e innovativa? R. Intanto la comunicazione di un politico non deve essere fatta solo in una fase elettorale. Quello che si fa purtroppo è tappezzare a un tratto tutte le strade che sono piene e sporche e si promette tutto. Guarda caso appena sono elette queste persone spariscono. I politici hanno nome, cognome e data di nascita di tutta la popolazione e non mandano mai un augurio di compleanno. Questa per me è una comunicazione efficace. Mandare un augurio anche via e-mail, visto che le tecnologie ce lo permettono, potrebbe essere fatto. Nessun politico chiede realmente ai suoi cittadini di che cosa hanno bisogno. I clienti del politico sono la popolazione. Tappezzare le città non è efficace. Io sono del parere che non si costruisce niente dal nulla, bisogna avere la storia, quella che dice “io ti ho sempre coccolato, caro cliente votami perché ti ho sempre dimostrato nel tempo la coerenza”. Per inviare materiale e informazioni: comunicateneo@igorrighetticomunicazione.It  
   
   
CAIRO EDITORE: "DIPIU' TV" 940.000 COPIE MEDIE VENDUTE NEI PRIMI 3 NUMERI  
 
Milano, 2 marzo 2005 - "Dipiu' Tv", il nuovo settimanale televisivo della Cairo Editore diretto da Sandro Mayer, ha venduto circa 940.000 copie medie nei primi tre numeri (circa 980.000 copie nel terzo) riscuotendo un successo eccezionale. Anche dal punto di vista pubblicitario sono stati ottenuti ottimi risultati: al 28 febbraio 2005 il portafoglio ordini per i numeri pubblicati e da pubblicare nel 2005 era pari a circa 3,6 milioni di Euro. Alla data del 28 febbraio 2005, il portafoglio ordini pubblicitari per i numeri pubblicati e da pubblicare nel 2005 di "Settimanale Dipiu"' ammontava a circa Euro 10 milioni (circa Euro 11 milioni il fatturato del 2004 la cui raccolta è iniziata nel marzo 2004).  
   
   
SR LABS SCEGLIE ATTITUDO PER FAR USCIRE L’EYE-TRACKING DAI LABORATORI DI RICERCA  
 
Milano, 2 marzo 2005 - Sr Labs la società che per prima ha cominciato ad occuparsi in Italia di eye-tracking e che oggi costruisce sistemi utilizzabili senza l’uso delle mani (hand-less), ha scelto di affidare ad Attitudo le attività di relazioni pubbliche e comunicazione con i media, con l’obiettivo di far uscire queste tecnologie innovative dai laboratori di ricerca e farle conoscere al grande pubblico. L’eye Tracking è una tecnologia che consente di rilevare i movimenti oculari e quindi di individuare dove guarda una persona. Tale sistema apre nuovi campi applicativi e di analisi nei più svariati settori: comunicazione pubblicitaria (cosa si guarda di una pagina pubblicitaria?); apparecchiature medicali (che possono essere controllate con lo sguardo e con la voce); telecomunicazioni (produzione di contenuti e videoservizi ottimizzati per cellulari e Pda); ausili per la disabilità (sistemi di comando basati sullo sguardo/voce) solo per citare i più importanti. “I campi applicativi di questa innovativa tecnologia – ha affermato Francesco Maringelli, Chief Scientist e Ceo di Sr Labs – possono influire direttamente sulla vita quotidiana di molti soggetti, dal medico radiologo al disabile motorio, dal chirurgo al controllore di volo, dallo specialista in analisi di immagini satellitari al creativo di una agenzia pubblicitario o al web designer. E’ giunto per noi il momento di associare alla ricerca e sviluppo di soluzioni un’azione di comunicazione che faccia percepire l’enorme portata di questa tecnologia nella vita di tutti i giorni. Abbiamo scelto Attitudo per la sua esperienza nei settori della comunicazione e della tecnologia oltre che per la capacità di comprendere le nostre problematiche e renderle comprensibili al grande pubblico.” “Sono felice - risponde Giuseppe Turri, titolare di Attitudo - di poter contribuire al successo di un’azienda italiana che affida alla ricerca e allo sviluppo un ruolo così importante, che opera in un settore moderno e dalle grandi potenzialità di crescita e che vanta diversi brevetti, a dimostrazione che, con passione e impegno, anche nel nostro paese si possono raggiungere traguardi tecnologici di valore mondiale.” www.Srlabs.it  
   
   
OPINION LEADER VI INVITA AD ENTRARE NELL’EXTRA_ORDINARY WORLD DI CHERVÒ  
 
Milano, 2 marzo 2005 - Nuovo anno, inedita collezione per Chervò. L’azienda leader nell’abbigliamento per il Golf si affida ancora una volta alle capacità creative di Opinion Leader per promuovere la sua immagine e quella dei suoi prodotti. “Wherever you drive, wherever you play, wherever you ski, choose the Chervò Style”, è il motivo conduttore che accompagna la comunicazione della nuova collezione primavera/estate 2005 dell’azienda. “Vogliamo stupire il nostro consumatore offrendogli l’occasione di vestire Chervò sempre, in ogni occasione: sul campo da Golf, sulle piste da sci, nel tempo libero ….. Un total look che lo faccia sentire sempre unico e ne soddisfi il desiderio di eleganza, raffinatezza, del sentirsi a proprio agio in tutti i momenti della giornata”, così Manfred Erlacher, titolare dell’azienda insieme al fratello Peter – anima creativa -, definisce la mission aziendale. Da qui nascono le nuove collezioni Sportswear, Bagswear e Eyewear (queste ultime due sono prodotte su licenza). Opinion Leader ha studiato un modo davvero Extra_ordinary per comunicare questo messaggio: ha creato il giusto mix di situazioni divertenti, chic, glamour, raffinate - all’interno come all’esterno di un campo da golf. Dando così vita a campagne pubblicitarie - stampa e tv -, materiale punto vendita - stampato con effetto tridimensionale - e catalogo - realizzato in due formati, uno più piccolo e uno più grande, quest’ultimo in numero limitato quasi fosse un libro fotografico. La campagna stampa multisoggetto prende il via a partire dal mese di marzo su testate di settore - Il Mondo del golf e Golf & Turismo - e dell’extra-settore - Espresso e Panorama. Il pay off per le pagine golf-wear recita “Golf Is Everywear” mentre per quelle sportswear “Extra_ordinary People”, a sottolineare l’immagine di un’azienda dispensatrice di capi Extra_ordinary per persone Extra_ordinary. All’interno dell’agenzia il direttore creativo Enrico Toniazzi è stato affiancato dall’art Arianna Folini e dal fotografo Rohn Meijer.  
   
   
UNA NUOVA VOCE DAL VATICANO… GRAZIE ALLA CONVENZIONE BANCARIA RE  
 
Roma, 2 marzo 2005 - La convenzione che dal 1984 si occupa di agevolazioni bancarie per il mondo Religioso ed Ecclesiastico, promuove una nuova trasmissione televisiva di Tele Radio Padre Pio dedicata alla Santa Sede Sarà la Convenzione Bancaria Re (che dal 1984 si occupa in esclusiva di agevolazioni bancarie per il mondo Ecclesiastico e Religioso) ad accompagnare il lancio di una nuova trasmissione dell’emittente televisiva Tele Radio Padre Pio, dedicata alle ultime notizie provenienti dalla Santa Sede. Vatican Service News è il nuovo programma di don Jaroslaw Cielecki, che a partire dal prossimo 5 marzo aprirà l’occhio delle telecamere dell’emittente pugliese sui più importanti incontri settimanali del Santo Padre, sulle visite ad limina Apostolorum dei vescovi, sulle udienze generali, le celebrazioni, le interviste e i commenti di giornalisti laici, sacerdoti, vescovi e cardinali. Sono previste anche puntate dedicate alla presentazione dei dicasteri vaticani, ai prossimi viaggi apostolici del Santo Padre e alle diverse comunità nazionali presenti a Roma. Il programma, che andrà in onda ogni sabato alle ore 16 (in replica ogni domenica alla stessa ora), vedrà ogni settimana nel suo palinsesto una storia di testimonianza di fede da laici, sacerdoti, vescovi, comunità, martiri dei nostri tempi a causa della fede. La Convenzione Bancaria Re, che finanzierà per intero il programma televisivo, ha deciso in questo modo di dare una risposta concreta alle parole di Paolo Giovanni Ii, che ha ricordato più volte l’importanza dell’evangelizzazione, anche tramite i mass media. La Convenzione Bancaria Re è un accordo tra il Gruppo Re e alcuni importanti Istituti di Credito italiani. È stata pensata e progettata in esclusiva per: Sacerdoti e Religiosi, Diaconi permanenti, Enti ecclesiastici, Enti religiosi, Enti e associazioni di laici vicini al mondo della Chiesa, Dipendenti laici di attività legate a istituti religiosi (ospedali, scuole, ecc…), Volontari che operano all'interno degli enti ecclesiastici e religiosi. Gli accordi privilegiati della Convenzione rendono disponibili condizioni di assoluto vantaggio sui tassi di interesse e sulle spese (commissioni, giorni valuta e altri servizi collegati al conto corrente). Tele Padre Pio, che trasmette via satellitare in tutta Europa e via etere a San Giovanni Rotondo e dintorni, conta attualmente solo in Italia già un milione e mezzo di telespettatori e una buona visione da parte di emigrati italiani in Europa.  
   
   
TBWAITALIA VINCE LA GARA PER LA COMUNICAZIONE DEL MARCHIO VESPA  
 
Milano, 2 marzo 2005 - Dopo una consultazione che ha coinvolto Tbwa\italia e Jwt, Il Gruppo Piaggio, leader europeo nella costruzione di veicoli motorizzati a due ruote, ha affidato la comunicazione di tutti i prodotti a marchio Vespa a Tbwa\italia, filiale italiana del Network pubblicitario guidata da Marco Fanfani Chief Executive Officer e Fabrizio Russo Chief Creative Officer. Il primo incarico è quello relativo al lancio della Nuova Vespa Lx. Per l’azienda toscana, l’immissione a marzo sul mercato italiano della Nuova Vespa Lx è un evento molto importante. Piaggio ha richiesto all’agenzia Tbwa di realizzare una campagna pubblicitaria con una forte personalità, capace di esaltare le qualità e l’unicità della Vespa, coniugando due aspetti fondamentali: il mito e l’estrema versatilità del prodotto. On air su stampa e affissione dall’8 marzo 2005, la campagna racconta Vespa Lx Piaggio -simbolo dello stile italiano tra i più noti nel mondo- attraverso l’eleganza delle immagini del fotografo Paolo Zambaldi, artista oggi più che mai affermato nel mondo della moda. Dalla creatività di Gina Ridenti Copy, Cristina Baccelli Art, con la direzione creativa di Fabrizio Russo, nasce la campagna di lancio della nuova Vespa Lx. La campagna si articola in due soggetti. Nella versione maschile, un elegantissimo sadomaso con tanto di tacchi a spillo e frusta “usa e disusa” la Vespa. L’head-line “Nuova Vespa Lx, strapazzatela” invita infatti il pubblico a far propria la Vespa e a godersela completamente. Nella versione femminile, la protagonista dell’annuncio è una contorsionista che utilizza in modo inusuale la Nuova Lx praticando in equilibrio sul sedile dello scooter esercizi acrobatici. Head-line: “Nuova Vespa Lx, godetevela”. Credits: Chief Creative Officer: Fabrizio Russo; Copy: Gina Ridenti; Art: Cristina Baccelli; Account Director: Elena Galluzzi; Account Manager: Alessandro Punturo; Fotografo: Paolo Zambaldi.  
   
   
GRANAROLO SPERIMENTA LA NUOVA MODALITÀ DI SOSTEGNO AL CINEMA ITALIANO CON "CUORE SACRO" DI OZPETEK  
 
Bologna, 2 marzo 2005 Chi riconoscerà i prodotti Granarolo in una scena dell¹ultimo film del regista Ferzan Ozpetek, « Cuore sacro », deve sapere che non si tratta di una casualità e nemmeno di pubblicità occulta: siamo di fronte a uno dei primi esempi di product placement nel cinema italiano, secondo le modalità previste dalla legge Urbani per il sostegno alle produzioni nazionali. La nuova normativa infatti prevede, oltre ai finanziamenti pubblici, altri strumenti di sostegno come il product placement, ovvero la possibilità per le aziende commerciali di comunicare se stesse e i loro prodotti all'interno delle pellicole cinematografiche, a fronte di un contributo definito dalla produzione. L'operazione è stata curata dalla Film Vision Srl, società romana che si occupa di azioni pubblicitarie legate al mondo del cinema italiano. Granarolo gruppo alimentare italiano marca leader del latte fresco - ha accolto con piacere l’invito della produzione di ³Cuore sacro² a percorrere questa nuova forma di sostegno, fornendo i prodotti della linea Alta Qualità per la scena in cui Irene, la giovane imprenditrice protagonista del film (interpretata da Barbara Bobulova) opera nella mensa allestita per l¹accoglienza dei bisognosi in città. <­<­Nella scena il marchio di Granarolo non si vede affatto, ma non importa. Più che un¹operazione di marketing ha dichiarato Giorgio Ciani Responsabile Comunicazione di Granarolo Spa è un piccolo contributo che la nostra azienda ha voluto dare al cinema italiano di qualità. La storia di questo ³triller dell¹anima², come lo ha definito il maestro Ozpetek, ci ha appassionato. Non abbiamo potuto fare a meno di riconoscere, anche nelle immagini della mensa, l¹ispirazione all¹operato della Comunità di Sant¹egidio, a cui la nostra azienda ha assegnato il Premio Alta Qualità nel 2003 nella persona del direttore, Andrea Riccardi>>. Il produttore Gianni Romoli si è detto orgoglioso di aver ottenuto la collaborazione di un'azienda di cui ha tanta stima per l'impegno sociale che da sempre la contraddistingue. »Cuore sacro » racconta la storia di una giovane e affermatissima imprenditrice italiana che scopre una vocazione per l¹altruismo che la porterà a cambiare radicalmente la sua vita, fino a trasformare l¹antico palazzo di famiglia in un centro di prima accoglienza. Il film è stato distribuito nelle sale cinematrografiche italiane a partire dal 25 febbraio.  
   
   
STIROSTOP TI AUGURA BUONA LETTURA! ABBONAMENTI GRATUITI PER CHI ACQUISTA LE LENZUOLA CHE NON SI STIRANO AL VIA ANCHE LA CAMPAGNA ADV DI E DELLE NUOVISSIME LINEE FIORUCCI  
 
Capriolo (Bs), 2 marzo 2005 – C'è grande fermento in Nk Home: la società che si occupa delle strategie, delle linee e dei prodotti della divisione casa del Gruppo Tessile Niggeler & Küpfer ha già concretizzato numerose partnership come quella con Fiorucci o con Enrico Coveri. Nei prossimi mesi il gruppo tessile bresciano promuoverà nuove iniziative. Partirà, infatti, dalla metà del mese di marzo la nuova promozione di Nk Home che regalerà a chiunque acquisti dei completi letto della linea Stirostop - le rivoluzionarie lenzuola che non si stirano in 100% cotone americano - un abbonamento gratuito a Chi, Casaviva o Per me, tutte riviste edite da Mondadori. Partecipare è semplicissimo: al momento dell'acquisto sarà sufficiente inviare a Nk Home la cartolina pre-affrancata ricevuta dal negoziante specificando la preferenza per una delle tre riviste. La promozione, che durerà sino alla fine del mese di giugno, coincide con il lancio della seconda campagna di advertising del gruppo tessile pianificata sulle principali riviste di arredamento e femminili di Mondadori dal mese di aprile sino alla fine del 2005. "Oltre alle lenzuola Stirostop, ora disponibili nella variante bicolore", commenta Michele Biza, direttore sales & marketing di Nk Home, "abbiamo deciso di investire con una campagna pubblicitaria anche sulle nuove linee Fiorucci, presto in vendita nei migliori negozi italiani; crediamo molto in queste creazioni e siamo certi del loro successo in Italia e nel mondo". Le storiche fantasie di Fiorucci rivivranno, infatti, sulle spugne da bagno e per la prima volta sulle lenzuola in puro cotone: i famosi angioletti o il cuoricino rosso fuoco e tutti i leit motiv che hanno fatto sognare e divertire i giovani di tutte le età.  
   
   
INDIAN RAGS AL 55° FESTIVAL DI SANREMO CON “LA DIFFERENZA”  
 
Indian Rags, il marchio di jeanswear maschile della Quartermaster S.p.a. Di Mosciano S. Angelo (Te), continua ad essere scelto da alcuni tra i più interessanti personaggi del mondo dello spettacolo a livello internazionale. In occasione della 55° edizione del Festival di Sanremo sarà la band dei La Differenza ad indossare i jeans, le t-shirt ed i capispalla Indian Rags, non solo sul palcoscenico del Teatro Ariston ma durante tutte le fasi della loro esperienza sanremese. Tra le più promettenti “Nuove proposte” in gara, i La Differenza saranno infatti protagonisti di un progetto sperimentale di reality-show nel quale i componenti della band saranno seguiti 24 ore al giorno dalle telecamere del portale Supereva.it e visibili in diretta anche da tutti i telefonini “3”. Un idea che integra moda, lo stile di vita delle nuove generazioni, il talento creativo e le nuove tecnologie: tutto ciò che il marchio Indian Rags rappresenta per i consumatori più attenti di tutto il mondo. La partnership con i La Differenza è frutto della notorietà che i marchi Quartermaster – Indian Rags per l’uomo e Indian Rose per la donna - hanno raggiunto presso le fasce più attente e sensibili del pubblico. Gli artisti, infatti, si sono spontaneamente rivolti ai produttori dei capi che hanno sempre indossato, chiedendo un supporto speciale per l’occasione. L’azienda ha aderito entusiasticamente all’invito, fornendo il proprio prodotto anche per la realizzazzione del video del brano “Che Farò”. Indian Rags, assieme alla linea femminile Indian Rose, si conferma così uno dei marchi preferiti dai personaggi noti o emergenti dello star-system come David Beckham in Inghilterra, i presentatori della rete musicale Viva in Germania o Katrina del Gf5 i Italia.  
   
   
NOVITA’: CORSO DI TELEVISIONE DIGITALE TERRESTRE  
 
Milano, 2 marzo 2005 - In partenza a Blumediacademy un nuovo corso sulla Televisione Digitale Terrestre. Il corso, della durata di 32 ore di lezione si terrà a Milano, in Via dei Carracci 7, zona Fiera, nei giorni venerdi 8 aprile, sabato 9 aprile, venerdi 15 aprile e sabato 16 aprile, dalle 9,00 alle 13,00 e dalle 14,00 alle 18,00. Per molte aziende la Tv Digitale Terrestre sta diventando una prospettiva interessante e ricca di opportunità. Obiettivo del corso è quello di fornire le conoscenze tecniche per lo sviluppo dei servizi interattivi oltre che evidenziare vantaggi e problematiche di questa nuova tecnologia. Alla fine del corso i partecipanti disporranno delle nozioni base (teoriche e pratiche) necessarie allo sviluppo di applicativi compliant con lo standard Mhp. Il corso “Sviluppo di applicativi Mhp per la Tv Digitale Terrestre” è rivolto a sviluppatori, analisti software e capi progetto tecnici con conoscenze di base del linguaggio java. Il docente è Emanuele Brunelli, laureato in Scienze dell’Informazione all’Università di Bologna. Da circa 3 anni si occupa della progettazione e dello sviluppo di applicazioni Java per la Televisione Digitale Terrestre secondo lo standard Mhp. Le sue conoscenze comprendono Analisi e Design con Uml oltre che progettazione e sviluppo in ambiente Java. Ogni partecipante avrà a disposizione un Pc multimediale in un'aula tecnologicamente attrezzata, con collegamento continuo a Internet. Riceverà gratuitamente materiale di cancelleria, materiale del corso in formato elettronico e sorgenti dei software sviluppati in laboratorio. Alla fine del corso sarà rilasciato un attestato di frequenza. Il costo per partecipare è di euro 1.200+ iva con le seguenti modalità di pagamento: Euro 600 + iva all'atto della iscrizione. Euro 600+ iva entro e non oltre il giorno 14 aprile 2005. Inviare quanto prima e comunque entro il 31 marzo 2005 la richiesta di iscrizione a Direzione Blumediacademy alla mail direzione@blumediacademy.Com  specificando l'oggetto : Corso Mhp. Il corso è a numero chiuso. Www.netsemiology.com  e www.Blumediacademy.com    
   
   
TOMMY & OSCAR - DAL CARTONE ANIMATO AL VIDEOGIOCO  
 
Milano, 2 marzo 2005 - Dopo il grande successo di vendita di Martin Mystère Operazione Dorian Gray, Artematica torna a dedicarsi alla linea Kids Game ed acquisisce la licenza di Tommy & Oscar, protagonista dell'omonima serie prodotta da Rainbow e trasmessa su Rai Tre. Precisa Riccardo Cangini Amministratore Unico di Artematica “La partership con Rainbow è frutto della reciproca stima maturata durante lo sviluppo del videogioco delle Winx, celebre serie di cartoni animati e imminente oggetto della campagna promozionale promossa da Ferrero. Rispetto ai precedenti titoli della linea Kids Game, il gioco di Tommy & Oscar adotterà le sofisticate tecnologie 3D Real Time già impiegate nei titoli di fascia alta.” Di Tommy & Oscar è in produzione anche un film a cartoni animati che arriverà presto nelle migliori sale cinematografiche italiane.  
   
   
INVITO A COLLABORARE AL FESM FESTIVAL  
 
 Scandicci (Fi) 2 marzo 2005 - Fesm festival chiede la collaborazione per reperire il materiale del primo Festival dedicato agli strumenti ed agli operatori della Comunicazione Sociale. Fabrica Ethica Social Media Festival · esperienze, messaggi, visioni del mondo migliore che c’è - nasce con l'obiettivo di mettere in luce la speranza e il positivo che già esiste e che spesso non si nota nel generale panorama di tristezza, disfattismo e fanatismo della nostra epoca. Fabrica Ethica Social Media Festival è il primo festival dedicato agli strumenti ed agli operatori del comunicare sociale, nato da una esigenza dell’impresa etica di collegare cultura ed economia responsabile. Fabrica Ethica Social Media Festival è una manifestazione promossa da Consorzio Centopercento Italiano, Regione Toscana, Fabrica Ethica e Comune di Scandicci (Fi) dedicata agli operatori e alle produzioni di vario genere del comunicare sociale; si darà spazio anche a mezzi, linguaggi e strumenti collegati a quei media ed eventi mediatici che costituiscono il circuito d’informazione indipendente dai sistemi di comunicazione convenzionale e di massa. Il Festival costituisce un luogo dove mostrare anche gli attori di questo circuito parallelo ed alternativo, la loro attività e la loro produzione realizzate attraverso nuove forme del comunicare e dei linguaggi mediatici. Un luogo dove il pubblico può fruire messaggi e stili di comunicazione che appartengono ad un mondo in via di sviluppo ed a modalità creative ancora da scoprire. Un festival delle immagini e della comunicazione sociale che parlano di * Condizioni dell’infanzia e sfruttamento del lavoro minorile * Libertà d’informazione e controinformazione * Società e culture urbane * Forme coercitive di lavoro e mobbing * Come costruire la pace * Cooperazione internazionale * Microcredito, finanza etica e forme alternative di commercio, economia e modelli sociali * Ambiente * Condizione multiculturale * Interventi del terzo settore * Globalizzazione * Diritto alla salute e alla sicurezza * Libertà di associazione, esperienze di partecipazione e coesione sociale di territori e di organizzazioni * Discriminazione di razza, religione, sesso e cultura * Ritorsioni economiche, fisiche e psicologiche * Messaggi e visioni del sociale attivo provenienti da azioni collegate alla cultura d’impresa e all’impresa sensibile, certificata o comunque socialmente responsabile * Associazioni, Onlus, Ong che hanno prodotto o raccolto materiale mediatico a tematica sociale * Festival indirizzati verso contenuti sociali * Tv internet, street, satellitari * Siti web di informazione indipendente e controinformazione * Produttori video e cinema indipendenti * Spot e campagne sociali (video e audio) * Radio con programmi dedicati al sociale * Singoli operatori indipendenti con produzione sociale * Scuole di cinema, di documentario, università, accademie che operano sul tema della comunicazione sociale * Riviste ed editori con produzione sociale * Musicisti ed etichette discografiche orientati al sociale in varie forme Chiediamo la vostra collaborazione a rendere possibile l’iniziativa. Si può partecipare inviando il seguente materiale sulle tematiche indicate entro il 7 marzo prossimo: * Video (formati dvd o vhs) * Audio * Visivo (foto, elaborati grafici e multimediali, disegni, cartoon, ecc.) * Editoriale (riviste, giornali, guide, pubblicazioni, ecc.) * Segnalazione siti web con breve recensione * Elaborati di e-mail art (elaborati grafici o testi a contenuto sociale da inviare per email ) e blog sociali Oppure: * Comunicando la propria disponibilità per un incontro con il pubblico * Diffondendo questo invito * Offrendo suggerimenti, proposte, contatti Per invio materiale ed informazioni: Fabrica Ethica Social Media Festival · esperienze, messaggi, visioni del mondo migliore che c’è Comune di Scandicci   50018 Scandicci (Fi) Italia  tel. +39 055 7591474-76-77  fax + 39 055 7591264  info@fesm-festival.It  www.Fesm-festival.it  
   
   
PROGETTO: DOCUMENTARIO  
 
Roma, 2 marzo 2005 - Sentieri selvaggi propone per la primavera 2005 un corso di nuova concezione: dedicato a coloro che desiderano conoscere tutte le fasi della produzione di un documentario e sperimentarle in un progetto concreto da realizzare secondo una metodologia professionale. Obiettivo Formativo Fornire le nozioni di base sul linguaggio e le tecniche del documentario. Stimolare la riflessione sulla narrazione documentaristica. Avviare gli allievi ad un percorso produttivo professionale attraverso il confronto con i collaboratori ed il lavoro in troupe. Formare troupe di allievi in un esperienza di lavoro che possano, conclusa l’esperienza corsistica, ricostituirsi in nuovi progetti comuni. Il corso si divide in Quattro fasi formative (per un totale di 55 ore di lezione + le riprese) Prima Fase - 9-10-11 aprile. Cinque lezioni sul linguaggio e le tecniche cinematografiche e sullo specifico del documentario. Seconda Fase - 19 aprile, 3-10-17-23-24-25-28-29 maggio. E’ composta da una serie lezioni sulla narrazione nel documentario e percorsi esercitativi su un progetto di servizio documentaristico: Gli allievi verranno divisi 3/4 gruppi il cui compito sarà scrivere un breve documentario ed affrontarne la regia in collaborazione con gli allievi e i docenti dei corsi di produzione, ripresa, simulando il lavoro di una troupe professionale. Terza Fase - 30 maggio, 6-13-20 giugno. Quattro incontri in cui gli allievi di montaggio si uniranno al gruppo di regia per montare i servizi realizzati. Quarta Fase - 27 giugno. Un ultimo incontro in cui tutti gli allievi che avranno partecipato al progetto incontreranno i docenti di regia, produzione, ripresa e montaggio per commentare il risultato dei saggi realizzati ed ottenere la votazione personale di fine corso. Il Docente Del Corso: Bruno Schiavoni. Quota iscrizione: 680 euro Per informazioni e iscrizioni: Scuola di cinema Sentieri selvaggi www.Sentieriselvaggi.it  
   
   
IL LAZIO OLTRE ROMA LA CAPITALE FA DA SFONDO AL VIAGGIO DI MERIDIANI NEL RESTO DELLA REGIONE  
 
Rozzano, 2 marzo 2005 - Il Lazio oltre Roma. Dimenticare per un momento la capitale con il suo carico di storia (di arte, di traffico anche) e viaggiare in libertà nel resto della regione. E' quanto fa Meridiani, nel numero di marzo, andando a scoprire le suggestioni infinite di una terra antica che ha "generato" Roma. In un unico viaggio circolare lungo i confini laziali Meridiani racconta dove le grandi vie consolari che portano a Roma entrano nel Lazio. Sei vie, sei luoghi diversi per paesaggi, genti e costumi. Sulla litoranea Anzio-gaeta, Meridiani viaggia non solo nello spazio ma soprattutto nel tempo e nelle storie: Anzio con la villa di Nerone e la spiaggia dello sbarco, il Circeo con la sua mitologia, la Grotta di Tiberio, la tomba di Cicerone, Sabaudia, Terracina, Sperlonga e Gaeta. La seconda 'città' del Lazio per abitanti, dopo Roma e Latina, è... Fiumicino. Con i suoi 150.000 abitanti giornalieri, tra passeggeri e addetti, il Leonardo da Vinci non è solo un aeroporto ma una città in volo. Meridiani racconta il suo variegato popolo in movimento. Ci sono gli habitué dei megahotel (il più spettacolare è grande 38 mila metri quadri di cui 8 mila a verde) e ci sono quelli che dormono sulle sue comodissime poltrone o nella cappella . Ci sono quelli che si sono costruiti la casa abusiva proprio a fianco alle piste d'atterraggio e c'è la signora Marylin... Cinefuoricitta': Fellini, Pasolini, Monicelli, De Sica, Leone hanno girato molti dei loro capolavori usando il Lazio come scenografia naturale. Per comodità, certo. Ma anche per le luci magiche, il fascino dei borghi, la vastità dei panorami. E per la gente usata come comparse. Meridiani ne cerca le tracce, per un film immaginario dove la messa a fuoco è rigorosamente sullo sfondo. Meridiani Lazio offre un'inquadratura che abbandona il soggetto in primo piano, la capitale, e mette a fuoco lo sfondo, per scoprire tutta la bellezza e la varietà dei paesaggi laziali.  
   
   
«NON PRONUNZIERAI INVANO IL NOME DEL SIGNORE, TUO DIO, PERCHÉ IL SIGNORE NON LASCERÀ IMPUNITO CHI PRONUNZIA IL SUO NOME INVANO.»  
 
Milano, 2 marzo 2005 - Che cosa vuol dire esattamente il secondo comandamento biblico? Il testo ebraico della Torah dice la-shâv, e il senso principale di questa espressione è 'per inganno', 'con falsità', non come spesso si pensa 'inutilmente' o 'futilmente'. Dio non può perdonare la trasgressione di questo comandamento, perché la vera bestemmia contro di lui non è quella che l'uomo pronuncia in un momento di leggerezza, di collera, ma è quella di chi sfrutta il nome di Dio per tramare impunemente violenza e iniquità. Partendo da queste osservazioni, e da una attenta analisi delle parole arabe del Corano, Massimo Jevolella smonta pezzo per pezzo le tesi ideologiche del radicalismo islamico, dimostrando che gli estremisti religiosi sono in realtà i peggiori nemici della fede; sono quelli che nel Corano vengono definiti munâfiqûn ('ipocriti'), e mu'tadîn ('eccessivi'). Gli ipocriti sono coloro che simulano e strumentalizzano la fede, e di qui a commettere violenza e atrocità nel nome di Dio il passo è breve. Boroli Editore.  
   
   
NOVITÁ IN LIBRERIA : “IL RICHIAMO DELLA NOTTE” DI DAVID PIRIE, EDITO DA SONZOGNO  
 
Milano, 2 marzo 2005 - Un enigma vittoriano interpretato da Arthur Conan Doyle e dal dottor Joseph Bell, il luminare di medicina forense realmente esistito cui Doyle si ispirò per creare le figure del più famoso detective della letteratura e del suo ineffabile aiutante. David Pirie, Il richiamo della notte (9 febbraio 2005, pagg. 396, €uro 17,50)